La rive sauvage de l'étang d'Angrignon à Montréal
Deux rives pour l'étanf d'Angrignon. Le sentier, du côté des immeubles, avec les promeurs à vélo ou les pêcheurs, les familles. Et du côté de la route nationale, une rive plus herbeuse, presque sauvage par endroit, sans vraiment de tracé parfois. Herbeux, donc plus humide, souvent spongieux entre les deux ou trois tables de pique-nique dispersées dans une zone plus vaste, plus accessible, depuis laquelle on peut tranquillement observer la petite ile au centre de l'eau.
En poussant un peu plus loin, remontant la rire, le passage se fait plus sauvage encore, larges de quelques pas à peine, fins rochers en surplomb qu'il n'est pas trop possible de contourner : non, impossible de plonger dans les sous-bois, la zone est bien trop innondées. Un tout petit peu d'aventure pour revenir au point de départ, troncs assemblés en pont pour petit détour équilibriste, le bas du jean déjà trempé et boueux...
Quand je m'extrais de ces buissons boueux, j'aperçois une silhouette penchée un peu plus loin, jeune pêcheur tout prè de son BMX.
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